mardi 13 décembre 2011
lundi 12 décembre 2011
vendredi 25 novembre 2011
les peintres gersois à la 3ème rencontre avec les métiers d'art
Marie-Josée BIZ (en bas) Reine MARCELLIN (côté droit)
lundi 21 novembre 2011
vendredi 18 novembre 2011
presse
Catherine Malafosse dit « Moliné »
peintre franco-espagnole
Originaire du Gers, interpellée très tôt par les problèmes d’environnement, de l’avenir de la planète et des conditions de vie, particulièrement de l’enfant, elle s’engage dans des actions humanitaires au sein d’associations puis à titre personnel .(Pérou).
En 2003, c’est dans ce pays (Pérou) qu’elle parcourt sac au dos, qu’elle découvre un moyen d’expression : la peinture, l’immensité des paysages de ces terres vierges et la douceur de ses populations dans un environnement si rude déclenchent en « Moliné » le désir d’exprimer ses sensations par la créativité picturale, son goût la porte vers la peinture à l’huile qu’elle maîtrise par un travail assidu, et, qui l’enrichit.
Aujourd’hui, cette artiste au cœur généreux, et qui aime faire bouger les choses et les gens, trouve son style.
Travaillant au couteau, la peinture de « Moliné » ne peut laisser notre regard indifférent.
Connu pour ses toiles de femmes aux costumes traditionnels dans le sud du Pérou , « le Parador del Ausangate » lui réserve une exposition permanente .
A la regarder, à l’observer, on comprend que cette femme-peintre de notre temps nous transmet par ses expositions : la Paix, la beauté d’un pays à l’histoire ancestrale et la joie, par ses couleurs vives.
lundi 14 novembre 2011
mercredi 2 novembre 2011
vendredi 14 octobre 2011
jeudi 13 octobre 2011
mardi 20 septembre 2011
dimanche 28 août 2011
vendredi 12 août 2011
EL CAMINO - PARTIR
Partir est avant tout sortir de soi,
briser la croûte d'égoïsme qui essaie de nous emprisonner dans notre propre "MOI"
partir, c'est cesser de tourner autour de soi-même,
comme si on était le centre du monde et de la vie.
Partir, c'est ne pas se laisser enfermer dans le cercle des problèmes du petit monde auquel nous appartenons : quelle que soit son importance.
L'Humanité est plus grande,
et c'est elle que nous devons servir.
Partir, ce n'est pas dévorer des kilomètres, traverser les mers ou atteindre les vitesses supersoniques,
c'est avant tout s'ouvrir aux autres, les découvrir, aller à leur rencontre,
s'ouvrir aux idées y compris celles qui sont contraire aux nôtres.
c'est avoir le souffle d'un bon marcheur.
extrait Dom Hel der Camara
briser la croûte d'égoïsme qui essaie de nous emprisonner dans notre propre "MOI"
partir, c'est cesser de tourner autour de soi-même,
comme si on était le centre du monde et de la vie.
Partir, c'est ne pas se laisser enfermer dans le cercle des problèmes du petit monde auquel nous appartenons : quelle que soit son importance.
L'Humanité est plus grande,
et c'est elle que nous devons servir.
Partir, ce n'est pas dévorer des kilomètres, traverser les mers ou atteindre les vitesses supersoniques,
c'est avant tout s'ouvrir aux autres, les découvrir, aller à leur rencontre,
s'ouvrir aux idées y compris celles qui sont contraire aux nôtres.
c'est avoir le souffle d'un bon marcheur.
extrait Dom Hel der Camara
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sur "el camino" de Roncesvalles à Santiago, j'ai rencontré des personnes de toutes nationalités, des gens charmants, serviables, des gens pressés, des sportifs, des égoïstes, mais quelques uns resteront toujours dans un coin de mon coeur : Gabriel l'Américain, Jean-François et Daniel de Saint-Malo qui se sont chargés de mon sac sur plusieurs kilomètres, et Jean-Paul qui a vidé tout son sac pour sortir sa trousse et soigner mes pieds, Merci à eux.
le voyage fut une belle expérience, merci aussi à mon amie Sylvia qui a partagé "el camino" avec nos moments de fatigue, nos crises de rire et notre soutien mutuel.
sur "el camino" de Roncesvalles à Santiago, j'ai rencontré des personnes de toutes nationalités, des gens charmants, serviables, des gens pressés, des sportifs, des égoïstes, mais quelques uns resteront toujours dans un coin de mon coeur : Gabriel l'Américain, Jean-François et Daniel de Saint-Malo qui se sont chargés de mon sac sur plusieurs kilomètres, et Jean-Paul qui a vidé tout son sac pour sortir sa trousse et soigner mes pieds, Merci à eux.
le voyage fut une belle expérience, merci aussi à mon amie Sylvia qui a partagé "el camino" avec nos moments de fatigue, nos crises de rire et notre soutien mutuel.
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